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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 14:08

 

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19 novembre 2006 7 19 /11 /novembre /2006 09:16

 

Terre-Neuve et Labrador
A  B  C  D  E  F  G  H  I  J  K  L  M  N  O  P  R  S  T  U  V  W
 

A

Appleton Argentia
Arnold's Cove Avondale
 

B

Badger Baie Verte
Batteau Battle Harbour
Bauline Bay Bulls
Bay L'Argent Bay Roberts
Bay de Verde Beachside
Beaumont Bell Island
Belleoram Bellevue
Benoit's Cove Birchy Bay
Bishop's Falls Black Duck Cove
Black Tickle Bonavista
Botwood Boyd's Cove
Branch Brent's Cove
Brigus Buchans
Burgeo Burin
Burlington Burnt Islands
 

C

Campbellton Cape Broyle
Carbonear Carmanville
Cartwright Catalina
Centreville-Wareham-Trinity Chance Cove
Change Islands Chapel Arm
Charlottetown Churchill Falls
Clarenville-Shoal Harbour Clarenville
Clarke's Beach Codroy
Colliers Come By Chance
Comfort Cove-Newstead Conception Bay South
Conception Harbour Conche
Conne River Cook's Harbour
Corner Brook Cottlesville
Cow Head Cupids
 

D

Daniel's Harbour Deer Lake
Dover  
 

E

Eastport Elliston
Embree Englee
English Harbour East  
 

F

Fair Haven Fermeuse
Flatrock Fleur de Lys
Flower's Cove Fogo
Forteau Fortune
Fox Cove-Mortier Francois
Frenchmans Island Freshwater
 

G

Gambo Gander
Garden Cove Garnish
Gaultois Glenwood
Glovertown Goosebay
Grand Bank Grand Falls-Windsor
Grand Falls Great Harbour Deep
Green Island Cove Greenspond
 

H

Hampden Hant's Harbour
Happy Valley-Goose Bay Harbour Breton
Harbour Grace Harbour Main-Chapel Cove-Lakeview
Hare Bay Hawke's Bay
Heart's Content Heart's Delight-Islington
Heart's Desire Hickman's Harbour
Hillgrade Hillview
Holyrood Hopedale
Howley Humber Arm South
 

I

Indian Tickle Island Harbour
Isle aux Morts  
 

J

Jackson's Arm Jamestown
Joe Batt's Arm-Barr'd Islands-Shoal Bay  
 

K

King's Cove King's Point
Kippens  
 

L

L'Anse-au-Loup La Scie
Labrador City Ladle Cove
Lamaline Lark Harbour
Lawn Lewisporte
Little Bay Islands Little Bay
Little Burnt Bay Little Catalina
Little Heart's Ease Logy Bay-Middle Cove-Outer Cove
Long Harbour-Mount Arlington Heights Long Pond
Lourdes Lower Island Cove
Lumsden  
 

M

Main Brook Makkovik
Mary's Harbour Marystown
Massey Drive McIver's
Millertown Milltown-Head of Bay D'Espoir
Ming's Bight Monkstown
Mount Carmel-Mitchells Brook-St. Catherines Mount Moriah
Mount Pearl Musgrave Harbour
Musgravetown  
 

N

Nain Natuashish
New Harbour New Perlican
New-Wes-Valley Nippers Harbour
Norman's Cove-Long Cove Norris Arm
North West River Northern Arm
 

O

Old Perlican  
 

P

Packs Harbour Pacquet
Paradise River Paradise
Pasadena Peterview
Petty Harbour-Maddox Cove Placentia
Plate Cove East Point Leamington
Pool's Cove Port Aux Basques
Port Blandford Port Hope Simpson
Port Rexton Port Saunders
Port Union Port au Choix
Port au Port West-Aguathuna-Felix Cove Portugal Cove-St. Philip's
Postville Pouch Cove
Princeton  
 

R

Raleigh Ramea
Red Bay Reefs Harbour
Rencontre East Rigolet
River of Ponds Robert's Arm
Rocky Harbour Roddickton
Rose Blanche-Harbour Le Cou Rushoon
 

S

Saint-Alban's Saint-Anthony
Saint-Bernard's-Jacques Fontaine Saint-Brendan's
Saint-Bride's Saint-George's
Saint-Jacques-Coomb's Cove Saint-John's
Saint-Lawrence Saint-Lewis
Saint-Lunaire-Griquet Saint-Mary's
Saint-Vincent's-St. Stephen's-Peter's River Salmon Cove
Salvage Seal Cove
Seldom-Little Seldom Small Point-Broad Cove-Blackhead-Adams C
South Brook South River
Southern Harbour Spaniard's Bay
Spotted Island Springdale
Steady Brook Stephenville Crossing
Stephenville Summerford
Summerside Sunnyside
 

T

Terra Nova Terrenceville
Torbay Trepassey
Triton Trout River
Twillingate  
 

U

Upper Island Cove  
 

V

Victoria  
 

W

Wabana Wabush
Wesleyville Western Bay
Westport Whitbourne
Winterton Witless Bay
Woody Point  
 







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5 novembre 2006 7 05 /11 /novembre /2006 14:19

 TERRE-NEUVE  NEW FOUNDLAND

 

 

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24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 14:29
Terre-Neuve-et-Labrador
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
Pour les articles homonymes, voir Terre-Neuve (homonymie) et Labrador. 

Terre-Neuve-et-Labrador
Newfoundland and Labrador
Drapeau de%20Terre-Neuve-et-Labrador Armoiries de%20Terre-Neuve-et-Labrador
(Détails) (Détails)
Devise : Quaerite Primum Regnum Dei
(Latin : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu »)
Autres provinces et territoires du Canada
Pays  Canada
Capitale Saint-Jean
Plus grande ville Saint-Jean
Lieutenant-gouverneur Edward Roberts
Premier ministre Danny Williams (Conservateur)
Superficie 405 212 km² (10e)
 - Terre 373 872 km²
 - Eau 31 340 km² (7,70%)
Population (2001)  
 - Totale 533 800 hab. (9e)
 - Densité 1,43 hab./km² (10e)
Admission dans la Confédération (Provinces) ou Création (Territoires)  
 - Date 31 mars 1949
 - Rang 10e
Représentation au Parlement
 - Sièges à la chambre des communes 7
 - Sièges au sénat 6
Abréviation postale NL
Préfixe de code postal A
Gentilé Terreneuvien, Labradorien
Fuseau horaire UTC -3,5
Domaine internet .nl.ca
 

Terre-Neuve-et-Labrador (en anglais, Newfoundland and Labrador; en irlandais Talamh an Éisc) est une des provinces du Canada. La capitale est Saint-Jean.
La province est constituée de l'île de Terre-Neuve et de la péninsule du Labrador, à l'extrême est du pays (le point le plus oriental du Canada se trouve à quelques kilomètres de la capitale). La province n'a qu'une seule frontière terrestre, avec le Québec. Cette frontière Québec/Terre-Neuve-et-Labrador, au Labrador, définie par le Conseil privé de Londres en 1927, n'est pas reconnue par le Québec. Le territoire français de Saint-Pierre-et-Miquelon se trouve au large de la côte sud de la province.

La province s'appelle « Terre-Neuve-et-Labrador » au niveau interne depuis 1964, mais le nom « Terre-Neuve » s'utilisait fédéralement pour soulager une dispute avec le Québec sur l'appartenance du Labrador. En octobre 2001, un amendement constitutionnel est passé devant le Sénat et la Chambre des communes du Canada ainsi que la Chambre d'assemblée de la province, afin de changer le nom officiel en Terre-Neuve-et-Labrador. Cet amendement prit son effet le 6 décembre 2001.

La population de la province est de 533 800 personnes (Terreneuviens et Labradoriens).

Terre-Neuve a son propre dialecte d'anglais distinct de l'anglais canadien : l'anglais terreneuvien. Le français terre-neuvien et l'irlandais terre-neuvien ont quasiment disparu.

Sommaire

[masquer]

Histoire avant l'Union [modifier]

Période de colonisation [modifier]

Terre-Neuve a une longue histoire. La première colonie européenne en Amérique, fondée en l'an 1000 par les Vikings, se trouvait à L'Anse aux Meadows sur l'île. Des restes et des artefacts provenant de cette occupation sont présentés à L'Anse aux Meadows, maintenant classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. L'île fut ensuite habitée par les Inuits et les Beothuks.
L'explorateur Jean Cabot accosta à Bonavista en 1497 et prit possession de Terre-Neuve au nom de la couronne d'Angleterre, qui en fit sa première colonie d'outre-mer. La colonie n'était pas une province canadienne jusqu'en 1949 et est demeurée jusqu'à cette date un dominion de l'Empire britannique ayant une existence juridique séparée du Canada.

Membre de l'Empire britannique [modifier]

Terre-Neuve fut dotée en 1832 d'une assemblée coloniale, qui est actuellement connue sous le terme de la Chambre d'assemblée (House of Assembly). En 1855 Terre-Neuve reçut son propre gouvernement et Philip Francois Little, natif de l'île du Prince-Édouard, forma la première administration de 1855 à 1858.

Évènements ayant conduit à l'union avec le Canada [modifier]

Terre-Neuve rejeta une première fois l'union avec la confédération canadienne dans l'élection générale de 1869. Elle demeura colonie britannique jusqu'à ce qu'elle reçût le statut de dominion en 1907 en même temps que la Nouvelle-Zélande. Elle tenta de faire un accord de libre-échange avec les États-Unis mais cela échoua. La Dominion de Terre-Neuve atteignit son âge d'or sous le premier ministre Sir Robert Bond.

Géographie
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Géographie

Terre-Neuve constitua son propre régiment pour participer à la Première Guerre mondiale afin de soutenir le Royaume-Uni. Le 1er juillet 1916, une grande partie de ce régiment fut massacrée au début de la Bataille de la Somme. La dette de guerre suite aux dépenses dues à ce régiment conduisit à un endettement croissant lors des années 1920, car contrairement à tous les États souverains de l'époque (qui soient anulèrent, soit étalèrent leurs remboursements, de leur dette de guerre, à leur avantage) Terre-Neuve fit face à ses engagements financiers sans les renier.

Les années 1920 furent aussi marquées par une atmosphère de scandale. En 1923 le premier ministre Richard Squires fut arrêté et accusé de corruption. Il fut laissé en liberté peu de temps après sur caution, mais on nomma une commission britannique dirigée par Hollis Walker pour éclairer l'affaire. Peu de temps après le gouvernement de Squires chuta. Il revint au pouvoir en 1928 pendant la grave crise infligée au pays par la Grande dépression. Le 5 avril 1932, une émeute de 10 000 personnes à l'Assemblée contraignit Squires à s'enfuir.

Le gouvernement suivant, mené par Frederick Alderdice, demanda au gouvernement britannique de prendre le contrôle direct du pays, jusqu'à ce que Terre-Neuve soit auto-suffisante.

Histoire au sein du Canada [modifier]

Référendum acquis de justesse [modifier]

En 1946, une élection mis en place une convention nationale pour décider de l'avenir de Terre-Neuve. Après un débat acharné et un premier référendum à trois options en juin 1948, un deuxième référendum en juillet 1948 décida par un vote de 52 % contre 48 % de s'unir avec le Canada.

Terre-Neuve devint membre de la Confédération canadienne le 1er avril 1949.

La politique de la province fut dominée par le Parti libéral sous Joseph R. Smallwood jusqu'en 1972. Cette année-là, le gouvernement Smallwood fut défait par les progressiste-conservateurs dirigé par Frank Moores.

Brian Peckford devint premier ministre en 1979. Pendant cette période, la province lutta avec le gouvernement fédéral pour contrôler les importantes ressources pétrolières maritimes, dispute qui s'acheva par un compromis. En 1989, le Parti libéral de Clyde Wells prit le pouvoir.

Crise économique et frictions avec le gouvernement fédéral du Canada [modifier]

Durant les années 1990, Terre-Neuve fit face à une crise écologique et environnementale sévère. L'activité de pêcherie de morue, dont les Terre-neuviens avaient vécu pendant 200 ans, chuta en raison de la quasi disparition de l'espèce. Le gouvernement fédéral aida Terre-Neuve pour un milliard de dollars.

En 1996 l'ancien politicien fédéral Brian Tobin prit le pouvoir. Son but principal était de faire profiter la province des riches dépôts de nickel récemment découverts au Labrador. Il démissionna pour retourner à la politique fédérale en 2000. Le Parti libéral s'est trouvé dans une condition affaiblie depuis ce temps, situation ressentie par l'actuel premier ministre, Roger Grimes.

Un différent sévit avec la Nouvelle-Écosse au sujet de la frontière maritime au sud.

En 2003, le gouvernement fédéral imposa un moratoire complet sur la pêche de la morue, à cause de la population extrêmement basse de ce poisson. Ceci enflamma les esprits partout dans le Canada atlantique ; en Terre-Neuve-et-Labrador, le premier ministre Grimes ordonna une revue de l'Acte d'Union et de la place de la province au Canada.

Ressources minières [modifier]

Le sous-sol de la province regorge de ressources minières. Les gisements les plus importants de fer au monde ont été découvert au Labrador. Le sol referme également d'énormes minerais d'or, d'argent, d'amiante, de fluor, de tungstène, de nickel, de cuivre, de plomb, de zinc et de charbon ainsi que de gypse, de calcaire, de cobalt. Ce dernier se trouve surtout dans l'île de Terre-Neuve. Beaucoup de pétrole off shire à été découvert près de la capitale provincial. Mais, le manque de moyen freine l'exploitation de ses gisements.

Fiche de renseignements [modifier]

Capitale : St. John's

Devise : Quaetrite Prime Regnum Dei (Cherchez d'abord le royaume de Dieu)

Fleur emblème : La sarracénie pourpre

Date d'entrée dans la Confédération : Le 31 mars 1949

Membres de l'Assemblée législative : 48

Députés à la Chambre des communes : 7

Sénateurs : 6

Population en 1998 : 538,832

Revenu familial annuel moyen - 1996 : 42,993 $

Taux d'emploi - 1997- 62,4 %

Coûts des soins de santé par habitant - 1995 : 2,612 $

L'inflation mesurée à l'IPC - 1997 : 1,2 %

Revenu hebdomadaire moyen - 1997 : 483.49 $

Mises en chantier d'habitations - 1997 : 960

Taxe sur les ventes - 1998 : 10 %

Population urbaine - 1996 : 41,8 %

PIB par habitant - 1995 : 16,858 $

Superficie par rapport au reste du Canada : 4,06 %

Pistes de relances du dialogue entre Terre-Neuve-et-Labrador et le Canada [modifier]

Le 2 juillet 2003, les résultats de la Commission royale sur la place de Terre-Neuve-et-Labrador dans la fédération furent révélés. [1] La commission fit état des éléments de tensions dans la relation entre Terre-Neuve-et-Labrador et le Canada :

  • l'impact massif de la destruction de l'activité de pêcherie de la morue ;
  • le fait que les ressources d'hydroélectricité du Labrador aient principalement bénéficié au Québec ;
  • le haut taux de chômage chronique ;
  • les revenus par habitant les plus bas au Canada ;
  • les hauts niveaux d'impôt ;
  • le taux d'émigration le plus élevé.

Le rapport prônait :

  • un fédéralisme plus coopératif avec Terre-Neuve-et-Labrador ;
  • une action commune pour reconvertir l'activité de pêcherie ;
  • une collaboration entre le Canada, le Québec, et Terre-Neuve-et-Labrador pour développer le site hydroélectrique de Gull Island ;
  • une révision des accords atlantiques pour que les réserves pétrolières maritimes (Hibernia) bénéficient en priorité à Terre-Neuve-et-Labrador ;
  • des pourparlers immédiats et réalistes sur une gestion conjointe de la pêcherie.

Le texte du rapport peut se trouver ici en anglais, avec un sommaire français ici (format .pdf).

Voir aussi [modifier]

Liens externes [modifier]



Terre-Neuve-et-Labrador
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
Pour les articles homonymes, voir Terre-Neuve (homonymie) et Labrador. 

Terre-Neuve-et-Labrador
Newfoundland and Labrador
Drapeau de%20Terre-Neuve-et-Labrador Armoiries de%20Terre-Neuve-et-Labrador
(Détails) (Détails)
Devise : Quaerite Primum Regnum Dei
(Latin : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu »)
Autres provinces et territoires du Canada
Pays  Canada
Capitale Saint-Jean
Plus grande ville Saint-Jean
Lieutenant-gouverneur Edward Roberts
Premier ministre Danny Williams (Conservateur)
Superficie 405 212 km² (10e)
 - Terre 373 872 km²
 - Eau 31 340 km² (7,70%)
Population (2001)  
 - Totale 533 800 hab. (9e)
 - Densité 1,43 hab./km² (10e)
Admission dans la Confédération (Provinces) ou Création (Territoires)  
 - Date 31 mars 1949
 - Rang 10e
Représentation au Parlement
 - Sièges à la chambre des communes 7
 - Sièges au sénat 6
Abréviation postale NL
Préfixe de code postal A
Gentilé Terreneuvien, Labradorien
Fuseau horaire UTC -3,5
Domaine internet .nl.ca
 

Terre-Neuve-et-Labrador (en anglais, Newfoundland and Labrador; en irlandais Talamh an Éisc) est une des provinces du Canada. La capitale est Saint-Jean.
La province est constituée de l'île de Terre-Neuve et de la péninsule du Labrador, à l'extrême est du pays (le point le plus oriental du Canada se trouve à quelques kilomètres de la capitale). La province n'a qu'une seule frontière terrestre, avec le Québec. Cette frontière Québec/Terre-Neuve-et-Labrador, au Labrador, définie par le Conseil privé de Londres en 1927, n'est pas reconnue par le Québec. Le territoire français de Saint-Pierre-et-Miquelon se trouve au large de la côte sud de la province.

La province s'appelle « Terre-Neuve-et-Labrador » au niveau interne depuis 1964, mais le nom « Terre-Neuve » s'utilisait fédéralement pour soulager une dispute avec le Québec sur l'appartenance du Labrador. En octobre 2001, un amendement constitutionnel est passé devant le Sénat et la Chambre des communes du Canada ainsi que la Chambre d'assemblée de la province, afin de changer le nom officiel en Terre-Neuve-et-Labrador. Cet amendement prit son effet

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24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 14:27
Terre-Neuve-et-Labrador
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Pour les articles homonymes, voir Terre-Neuve (homonymie) et Labrador. 

Terre-Neuve-et-Labrador
Newfoundland and Labrador
Drapeau de%20Terre-Neuve-et-Labrador Armoiries de%20Terre-Neuve-et-Labrador
(Détails) (Détails)
Devise : Quaerite Primum Regnum Dei
(Latin : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu »)
Autres provinces et territoires du Canada
Pays  Canada
Capitale Saint-Jean
Plus grande ville Saint-Jean
Lieutenant-gouverneur Edward Roberts
Premier ministre Danny Williams (Conservateur)
Superficie 405 212 km² (10e)
 - Terre 373 872 km²
 - Eau 31 340 km² (7,70%)
Population (2001)  
 - Totale 533 800 hab. (9e)
 - Densité 1,43 hab./km² (10e)
Admission dans la Confédération (Provinces) ou Création (Territoires)  
 - Date 31 mars 1949
 - Rang 10e
Représentation au Parlement
 - Sièges à la chambre des communes 7
 - Sièges au sénat 6
Abréviation postale NL
Préfixe de code postal A
Gentilé Terreneuvien, Labradorien
Fuseau horaire UTC -3,5
Domaine internet .nl.ca
 

Terre-Neuve-et-Labrador (en anglais, Newfoundland and Labrador; en irlandais Talamh an Éisc) est une des provinces du Canada. La capitale est Saint-Jean.
La province est constituée de l'île de Terre-Neuve et de la péninsule du Labrador, à l'extrême est du pays (le point le plus oriental du Canada se trouve à quelques kilomètres de la capitale). La province n'a qu'une seule frontière terrestre, avec le Québec. Cette frontière Québec/Terre-Neuve-et-Labrador, au Labrador, définie par le Conseil privé de Londres en 1927, n'est pas reconnue par le Québec. Le territoire français de Saint-Pierre-et-Miquelon se trouve au large de la côte sud de la province.

La province s'appelle « Terre-Neuve-et-Labrador » au niveau interne depuis 1964, mais le nom « Terre-Neuve » s'utilisait fédéralement pour soulager une dispute avec le Québec sur l'appartenance du Labrador. En octobre 2001, un amendement constitutionnel est passé devant le Sénat et la Chambre des communes du Canada ainsi que la Chambre d'assemblée de la province, afin de changer le nom officiel en Terre-Neuve-et-Labrador. Cet amendement prit son effet le 6 décembre 2001.

La population de la province est de 533 800 personnes (Terreneuviens et Labradoriens).

Terre-Neuve a son propre dialecte d'anglais distinct de l'anglais canadien : l'anglais terreneuvien. Le français terre-neuvien et l'irlandais terre-neuvien ont quasiment disparu.

Sommaire

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Histoire avant l'Union [modifier]

Période de colonisation [modifier]

Terre-Neuve a une longue histoire. La première colonie européenne en Amérique, fondée en l'an 1000 par les Vikings, se trouvait à L'Anse aux Meadows sur l'île. Des restes et des artefacts provenant de cette occupation sont présentés à L'Anse aux Meadows, maintenant classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. L'île fut ensuite habitée par les Inuits et les Beothuks.
L'explorateur Jean Cabot accosta à Bonavista en 1497 et prit possession de Terre-Neuve au nom de la couronne d'Angleterre, qui en fit sa première colonie d'outre-mer. La colonie n'était pas une province canadienne jusqu'en 1949 et est demeurée jusqu'à cette date un dominion de l'Empire britannique ayant une existence juridique séparée du Canada.

Membre de l'Empire britannique [modifier]

Terre-Neuve fut dotée en 1832 d'une assemblée coloniale, qui est actuellement connue sous le terme de la Chambre d'assemblée (House of Assembly). En 1855 Terre-Neuve reçut son propre gouvernement et Philip Francois Little, natif de l'île du Prince-Édouard, forma la première administration de 1855 à 1858.

Évènements ayant conduit à l'union avec le Canada [modifier]

Terre-Neuve rejeta une première fois l'union avec la confédération canadienne dans l'élection générale de 1869. Elle demeura colonie britannique jusqu'à ce qu'elle reçût le statut de dominion en 1907 en même temps que la Nouvelle-Zélande. Elle tenta de faire un accord de libre-échange avec les États-Unis mais cela échoua. La Dominion de Terre-Neuve atteignit son âge d'or sous le premier ministre Sir Robert Bond.

Géographie
Agrandir
Géographie

Terre-Neuve constitua son propre régiment pour participer à la Première Guerre mondiale afin de soutenir le Royaume-Uni. Le 1er juillet 1916, une grande partie de ce régiment fut massacrée au début de la Bataille de la Somme. La dette de guerre suite aux dépenses dues à ce régiment conduisit à un endettement croissant lors des années 1920, car contrairement à tous les États souverains de l'époque (qui soient anulèrent, soit étalèrent leurs remboursements, de leur dette de guerre, à leur avantage) Terre-Neuve fit face à ses engagements financiers sans les renier.

Les années 1920 furent aussi marquées par une atmosphère de scandale. En 1923 le premier ministre Richard Squires fut arrêté et accusé de corruption. Il fut laissé en liberté peu de temps après sur caution, mais on nomma une commission britannique dirigée par Hollis Walker pour éclairer l'affaire. Peu de temps après le gouvernement de Squires chuta. Il revint au pouvoir en 1928 pendant la grave crise infligée au pays par la Grande dépression. Le 5 avril 1932, une émeute de 10 000 personnes à l'Assemblée contraignit Squires à s'enfuir.

Le gouvernement suivant, mené par Frederick Alderdice, demanda au gouvernement britannique de prendre le contrôle direct du pays, jusqu'à ce que Terre-Neuve soit auto-suffisante.

Histoire au sein du Canada [modifier]

Référendum acquis de justesse [modifier]

En 1946, une élection mis en place une convention nationale pour décider de l'avenir de Terre-Neuve. Après un débat acharné et un premier référendum à trois options en juin 1948, un deuxième référendum en juillet 1948 décida par un vote de 52 % contre 48 % de s'unir avec le Canada.

Terre-Neuve devint membre de la Confédération canadienne le 1er avril 1949.

La politique de la province fut dominée par le Parti libéral sous Joseph R. Smallwood jusqu'en 1972. Cette année-là, le gouvernement Smallwood fut défait par les progressiste-conservateurs dirigé par Frank Moores.

Brian Peckford devint premier ministre en 1979. Pendant cette période, la province lutta avec le gouvernement fédéral pour contrôler les importantes ressources pétrolières maritimes, dispute qui s'acheva par un compromis. En 1989, le Parti libéral de Clyde Wells prit le pouvoir.

Crise économique et frictions avec le gouvernement fédéral du Canada [modifier]

Durant les années 1990, Terre-Neuve fit face à une crise écologique et environnementale sévère. L'activité de pêcherie de morue, dont les Terre-neuviens avaient vécu pendant 200 ans, chuta en raison de la quasi disparition de l'espèce. Le gouvernement fédéral aida Terre-Neuve pour un milliard de dollars.

En 1996 l'ancien politicien fédéral Brian Tobin prit le pouvoir. Son but principal était de faire profiter la province des riches dépôts de nickel récemment découverts au Labrador. Il démissionna pour retourner à la politique fédérale en 2000. Le Parti libéral s'est trouvé dans une condition affaiblie depuis ce temps, situation ressentie par l'actuel premier ministre, Roger Grimes.

Un différent sévit avec la Nouvelle-Écosse au sujet de la frontière maritime au sud.

En 2003, le gouvernement fédéral imposa un moratoire complet sur la pêche de la morue, à cause de la population extrêmement basse de ce poisson. Ceci enflamma les esprits partout dans le Canada atlantique ; en Terre-Neuve-et-Labrador, le premier ministre Grimes ordonna une revue de l'Acte d'Union et de la place de la province au Canada.

Ressources minières [modifier]

Le sous-sol de la province regorge de ressources minières. Les gisements les plus importants de fer au monde ont été découvert au Labrador. Le sol referme également d'énormes minerais d'or, d'argent, d'amiante, de fluor, de tungstène, de nickel, de cuivre, de plomb, de zinc et de charbon ainsi que de gypse, de calcaire, de cobalt. Ce dernier se trouve surtout dans l'île de Terre-Neuve. Beaucoup de pétrole off shire à été découvert près de la capitale provincial. Mais, le manque de moyen freine l'exploitation de ses gisements.

Fiche de renseignements [modifier]

Capitale : St. John's

Devise : Quaetrite Prime Regnum Dei (Cherchez d'abord le royaume de Dieu)

Fleur emblème : La sarracénie pourpre

Date d'entrée dans la Confédération : Le 31 mars 1949

Membres de l'Assemblée législative : 48

Députés à la Chambre des communes : 7

Sénateurs : 6

Population en 1998 : 538,832

Revenu familial annuel moyen - 1996 : 42,993 $

Taux d'emploi - 1997- 62,4 %

Coûts des soins de santé par habitant - 1995 : 2,612 $

L'inflation mesurée à l'IPC - 1997 : 1,2 %

Revenu hebdomadaire moyen - 1997 : 483.49 $

Mises en chantier d'habitations - 1997 : 960

Taxe sur les ventes - 1998 : 10 %

Population urbaine - 1996 : 41,8 %

PIB par habitant - 1995 : 16,858 $

Superficie par rapport au reste du Canada : 4,06 %

Pistes de relances du dialogue entre Terre-Neuve-et-Labrador et le Canada [modifier]

Le 2 juillet 2003, les résultats de la Commission royale sur la place de Terre-Neuve-et-Labrador dans la fédération furent révélés. [1] La commission fit état des éléments de tensions dans la relation entre Terre-Neuve-et-Labrador et le Canada :

  • l'impact massif de la destruction de l'activité de pêcherie de la morue ;
  • le fait que les ressources d'hydroélectricité du Labrador aient principalement bénéficié au Québec ;
  • le haut taux de chômage chronique ;
  • les revenus par habitant les plus bas au Canada ;
  • les hauts niveaux d'impôt ;
  • le taux d'émigration le plus élevé.

Le rapport prônait :

  • un fédéralisme plus coopératif avec Terre-Neuve-et-Labrador ;
  • une action commune pour reconvertir l'activité de pêcherie ;
  • une collaboration entre le Canada, le Québec, et Terre-Neuve-et-Labrador pour développer le site hydroélectrique de Gull Island ;
  • une révision des accords atlantiques pour que les réserves pétrolières maritimes (Hibernia) bénéficient en priorité à Terre-Neuve-et-Labrador ;
  • des pourparlers immédiats et réalistes sur une gestion conjointe de la pêcherie.

Le texte du rapport peut se trouver ici en anglais, avec un sommaire français ici (format .pdf).

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Drapeau du Canada Provinces et territoires du Canada Drapeau du Canada
Terre-Neuve-et-Labrador
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Pour les articles homonymes, voir Terre-Neuve (homonymie) et Labrador. 
Terre-Neuve-et-Labrador
Newfoundland and Labrador
Drapeau de%20Terre-Neuve-et-Labrador Armoiries de%20Terre-Neuve-et-Labrador (Détails) (Détails) Devise : Quaerite Primum Regnum Dei
(Latin : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu »)
Autres provinces et territoires du Canada Pays  Canada Capitale Saint-Jean
Plus grande ville Saint-Jean Lieutenant-gouverneur Edward Roberts Premier ministre Danny Williams (Conservateur) Superficie 405 212 km² (10e)  - Terre 373 872 km²  - Eau 31 340 km² (7,70%) Population (2001)    - Totale 533 800 hab. (9e)  - Densité 1,43 hab./km² (10e) Admission dans la Confédération (Provinces) ou Création (Territoires)    - Date 31 mars 1949  - Rang 10e Représentation au Parlement  - Sièges à la chambre des communes 7  - Sièges au sénat 6 Abréviation postale NL Préfixe de code postal A Gentilé Terreneuvien, Labradorien Fuseau horaire UTC -3,5 Domaine internet .nl.ca  

Terre-Neuve-et-Labrador (en anglais, Newfoundland and Labrador; en irlandais Talamh an Éisc) est une des provinces du Canada. La capitale est Saint-Jean.
La province est constituée de l'île de Terre-Neuve et de la péninsule du Labrador, à l'extrême est du pays (le point le plus oriental du Canada se trouve à quelques kilomètres de la capitale). La province n'a qu'une seule frontière terrestre, avec le Québec. Cette frontière Québec/Terre-Neuve-et-Labrador, au Labrador, définie par le Conseil privé de Londres en 1927, n'est pas reconnue par le Québec. Le territoire français de

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24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 14:25

 

 

Liste de municipalités de Terre-Neuve-et-Labrador au Canada.


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8 août 2006 2 08 /08 /août /2006 16:34

 

BRUMES DE ST PIERRE

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=64659

 

 http://quebec-canada.over-blog.com/liste-article-blog.php/ 

 

Dans les brumes de Saint-Pierre-et-Miquelon
Comment passer un 14 juillet sous le drapeau tricolore sans traverser l’océan lorsqu’on est une journaliste californienne ? Il suffit de se rendre dans le plus septentrional de nos territoires d’outre-mer. Exotisme et Marseillaise garantis !
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Le drapeau tricolore flotte sur la place du Général-de-Gaulle par cette matinée brumeuse, tandis que des gendarmes, uniforme bleu impeccable et gants blancs, torse barré d’un fusil, se mettent au garde-à-vous dès que la fanfare entonne La Marseillaise. Nous sommes le 14 juillet. Je suis en France, entourée de Français patriotes, et pourtant, 4 500 kilomètres et un océan me séparent de Paris. Car Saint-Pierre-et-Miquelon, c’est la France, même si les deux îles se situent à une trentaine de kilomètres au large de la pointe sud de Terre-Neuve. Depuis trois jours, le thermomètre refuse de dépasser les 12 °C et un brouillard bas enveloppe l’île de Saint-Pierre et son port. Mais il faut croire que quelqu’un là-haut doit avoir un faible pour les Français, car, en ce jour de fête nationale, le soleil perce enfin et, vers midi, à l’heure où une bonne part des 6 000 habitants de Saint-Pierre se rassemblent sur la place pour trinquer en l’honneur de la mère patrie, la température a grimpé à 25 °C.
Des ballons bleus, blancs et rouges s’élèvent dans le ciel dégagé. Les membres du Rotary et du Lions Club tiennent les baraques à frites. Des hamburgers et des hot-dogs grillent sur les braises. Des enfants aux cheveux méchés de bleu, de blanc et de rouge attendent leur tour devant les manèges. Mais comme nous sommes en France, il y a bien entendu du vin rosé* pour faire passer les hot-dogs, des demi-coquelets* grillés et des gâteaux* à la pelle.
Saint-Pierre-et-Miquelon – les deux îles, séparées par une dizaine de kilomètres, forment une entité indissociable – a longtemps été un grand centre de pêche. Saint-Pierre, le chef-lieu, qui abrite la plupart des insulaires, est une ville on ne peut plus française. On y trouve de bons restaurants français servant des escargots et des cuisses de grenouille ; les pâtisseries vendent des croissants ventrus et croustillants à souhait, et les Peugeot, Renault et autres Citroën sillonnent à vive allure les rues étroites creusées de nids-de-poule. Aux tables des restaurants, les clients tirent sur leurs Gauloises. Quand des amis se retrouvent, ils s’embrassent sur les deux joues. Et bien entendu, le français est ici la langue maternelle.
Ce n’est pas l’endroit le plus facile à atteindre, ce qui contribue sans doute à expliquer la rareté des hôtels. Pour m’y rendre, j’ai d’abord dû prendre un avion pour New York, puis une correspondance pour Halifax, en Nouvelle-Ecosse canadienne. Le lendemain, j’ai embarqué dans un gros coucou qui assurait la liaison jusqu’à Saint-Pierre. Théoriquement, une voiture de location m’attendait sur place mais le lecteur de carte de crédit du loueur ne fonctionnait pas (ce qui arrive souvent sur l’île) et je n’avais pas d’euros sur moi. Qu’à cela ne tienne, on m’a remis les clés, sans poser la moindre question. J’ai très vite compris que j’allais me sentir bien dans cet endroit improbable qui aime à se faire appeler la “terre insolite”*.
Je prends pension à L’Auberge de l’archipel, un bed and breakfast sans prétention comme il en existe tant d’autres ici, installé dans une rue résidentielle de Saint-Pierre et surplombant le port. La chambre est propre mais spartiate : sans téléphone ni téléviseur, l’endroit est juste assez grand pour accueillir un lit et un petit coffre. On m’avait chaleureusement recommandé Chez Hélène, à deux pas de là, qui a l’air un peu plus élégant mais qui affichait complet.
Pour goûter à une autre atmosphère, je passe également deux nuits à l’Hôtel-motel Robert sur le front de mer. La réception de cette bâtisse des années 1920 a été transformée en petit musée voué à l’époque bénie de la Prohibition, période pendant laquelle Saint-Pierre était une plaque tournante du trafic d’alcool vers les Etats-Unis. On y voit un chapeau de paille qui aurait appartenu à Al Capone. Je me demande si l’ennemi public numéro un a vraiment séjourné dans cet hôtel. “Oui, oui”*, m’assure la réceptionniste. “Il y a passé une nuit” (en 1927).
 
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Y aller Impossible de se rendre directement à Saint-Pierre-et-Miquelon depuis la France. Il faut impérativement faire une étape par Montréal ou Halifax. Depuis ces deux villes, la compagnie d’aviation de l’archipel, Air Saint-Pierre, organise des rotations. En été – de la mi-juin à fin septembre, les samedis et mardis – il vous en coûtera 1 100 dollars canadiens (770 euros) pour un aller-retour depuis Montréal. Depuis Halifax, les liaisons ont lieu été comme hiver trois fois par semaine (lundi, mercredi et vendredi) et coûtent 556 dollars canadiens (390 euros). Encore faut-il rallier la capitale de la Nouvelle-Ecosse, distante de plus de 1 200 km de Montréal et pour laquelle il n’existe pas de vols directs depuis Paris.

Se loger A Saint-Pierre, le chef-lieu, L’Auberge de l’archipel (tél. : 05 08 41 72 00 ; 19, rue Beaussant), où séjourne la journaliste du Los Angeles Times, est située à quelques minutes du centre-ville, qu’elle surplombe. Cinq chambres vous y attendent pour 50 euros par nuitée (petit déjeuner compris). L’article fait aussi allusion à un autre bed and breakfast, Chez Hélène (tél. : 05 08 41 31 08 ; 15, rue Beaussant). L’endroit possède une vue imprenable sur l’océan et 9 chambres à partir de 40 euros. Enfin, l’article évoque aussi l’Hôtel Robert (05 08 41 24 19 ; 10, rue du 11-Novembre), qui est le plus grand de l’île avec ses 43 chambres et son petit musée de la Prohibition. C’est aussi plus cher : pour une double, comptez de 100 à 150 euros. Sur Miquelon, le Maxotel (05 08 41 64 57) vous propose de louer des studios tout équipés pour 60 euros par jour (petit déjeuner inclus).

Se restaurer Un des attraits de Saint– Pierre–et–Miquelon (pour les touristes nord-américains) est la gastronomie. Ce petit bout de France perdu dans l’Atlantique Nord tient en effet à soigner sa French touch. Sur le front de mer de Saint-Pierre, le LA Times signale La Voilerie, qui mêle cuisine traditionnelle française et poissons et crustacés frais. Plus original, le restaurant de l’auberge Quatre Temps propose une carte où la cuisine française classique voisine avec des plats réunionnais.

À ne pas rater Si vous avez raté la commémoration du 14-Juillet, il vous reste encore une chance d’assister à l’un des événements annuels les plus importants de l’île : la fête basque. Les Basques forment en effet une communauté importante sur l’archipel et leur culture marque encore fortement ces îles. En 2006, cette fête dure du 19 au 27 août et inclut des danses traditionnelles, un hommage au fronton de Saint-Pierre (100 ans cette année) et, bien sûr, un tournoi de pelote basque.

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8 août 2006 2 08 /08 /août /2006 16:30

 

 

RADIO ATLANTIQUE   SAINT PIERRE

http://www.cheznoo.net/radioatlantique/

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18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 20:09
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18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 19:39
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