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20 août 2006 7 20 /08 /août /2006 08:49

 LES ENTENTES AVEC LES CENTRES HOSPITALIERS RÉFÉRANTS

Dans le cadre du programme de traumatologie,

l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal a conclu une entente de service avec

16 centres hospitaliers des régions des Laurentides, de Lanaudière, de l'Abitibi-Témiscamingue et de Montréal.


LISTE DES CENTRES HOSPITALIERS RÉFÉRANTS PAR RÉGION

CENTRE HOSPITALIER RÉFÉRANT

 

NIVEAU

 

Région de l'Abitibi-Témiscamingue

 

 

 

Centre hospitalier Hôtel-Dieu d'Amos

 

Secondaire

 

Centre hospitalier Rouyn-Noranda

Primaire

 

RSSS des Aurores Boréales (La Sarre)

Primaire

 

Centre hospitalier de Val D'or

Primaire

 

Centre de santé Sainte-Famille (Ville-Marie)

 

Stabilisation

 

Centre de santé Témiscaming

Stabilisation

 

Région de Lanaudière

 

 

 

Centre hospitalier régional de Lanaudière (Joliette)

Secondaire

Centre hospitalier Le Gardeur

Secondaire

 

Région des Laurentides

 

 

 

CLSC-CH d'Argenteuil (Lachute)

Primaire

 

Hôtel-Dieu de St-Jérôme

 

Secondaire

Centre hospitalier Laurentien (Ste-Agathe)

 

Primaire

 

CH-CR Antoine-Labelle (Centre de Mont-Laurier)

 

Primaire

 

Centre hospitalier St-Eustache

 

Primaire

 

Région de Montréal

 

 

 

Hôpital Jean-Talon

Secondaire

 

Ontario pour clientèle résidant au Québec

 

 

Hôpital général de Hawkesbury

 

 

Rupture de l'aorte

 

 

Centre hospitalier régional de Trois-Rivières

 

 

 

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20 août 2006 7 20 /08 /août /2006 08:29

 http://www.crhsc.umontreal.ca/hscm/traumaTertiaire.html

 

 CENTRE TERTIAIRE DE TRAUMATOLOGIE

 

Le 17 juin 1992, le Ministère de la Santé et des Services sociaux désignait l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal comme centre tertiaire de traumatologie pour l'Ile de Montréal et l'ouest du Québec.

Cette désignation confirmait alors la qualité des soins et des services que l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal dispense aux usagers traumatisés et reconnaissait le leadership que l'Hôpital assume dans le domaine de la traumatologie depuis les années 70. En effet, l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal a été le premier au Québec à se doter d'une salle de traumatologie dans la salle d'urgence, d'une unité intégrée de traumatologie comportant des lits de soins intensifs, de soins intermédiaires et de soins spécialisés à l'étage sous la responsabilité de chirurgiens généraux traumatologues.

En juin 1997, le Ministère de la Santé et des Services sociaux désignait l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal comme établissement membre du Centre d'expertise pour personnes blessés médullaires pour l'Ouest du Québec.

L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal assume ce mandat en consortium avec l'Institut de réadaptation de Montréal et le Centre de réadaptation Lucie-Bruneau.

 Le centre d'expertise pour personnes blessées médullaires de l'Ouest du Québec est également désigné pour assurer le programme de soins et services aux personnes blessées médullaires ventilo-assistées de tout le territoire du Québec.

 LA CLIENTÈLE

 LA CLIENTÈLE

L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal a admis, en 2001-02 plus de 1500 usagers blessés par traumatisme (Fichier Med-Echo). Avec ce volume d'admissions, l'Hôpital du Sacré- Coeur de Montréal se classe parmi les plus grands centres de traumatologie au Québec.

Parmi ce nombre de blessés, près de 40% sont admis pour des traumatismes sévères (traumatismes cranio-cérébaux, blessures à la moelle épinière, blessuress orthopédiques ou graves).

 LES ENTENTES AVEC LES CENTRES HOSPITALIERS RÉFÉRANTS

Dans le cadre du programme de traumatologie, l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal a conclu une entente de service avec 16 centres hospitaliers des régions des Laurentides, de Lanaudière, de l'Abitibi-Témiscamingue et de Montréal.


LISTE DES CENTRES HOSPITALIERS RÉFÉRANTS PAR RÉGION

CENTRE HOSPITALIER RÉFÉRANT

 

NIVEAU

 

Région de l'Abitibi-Témiscamingue

 

 

 

Centre hospitalier Hôtel-Dieu d'Amos

 

Secondaire

 

Centre hospitalier Rouyn-Noranda

 

Primaire

 

RSSS des Aurores Boréales (La Sarre)

 

Primaire

 

Centre hospitalier de Val D'or

 

Primaire

 

Centre de santé Sainte-Famille (Ville-Marie)

 

Stabilisation

 

Centre de santé Témiscaming

 

Stabilisation

 

Région de Lanaudière

 

 

 

Centre hospitalier régional de Lanaudière (Joliette)

 

Secondaire

 

Centre hospitalier Le Gardeur

 

Secondaire

 

Région des Laurentides

 

 

 

CLSC-CH d'Argenteuil (Lachute)

 

Primaire

 

Hôtel-Dieu de St-Jérôme

 

Secondaire

 

Centre hospitalier Laurentien (Ste-Agathe)

 

Primaire

 

CH-CR Antoine-Labelle (Centre de Mont-Laurier)

 

Primaire

 

Centre hospitalier St-Eustache

 

Primaire

 

Région de Montréal

 

 

 

Hôpital Jean-Talon

 

Secondaire

 

Ontario pour clientèle résidant au Québec

 

 

Hôpital général de Hawkesbury

 

 

Rupture de l'aorte

 

 

Centre hospitalier régional de Trois-Rivières

 

 

 LES RESSOURCES DU PROGRAMME DE TRAUMATOLOGIE

Le programme de traumatologie de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal dispose:

  • d'une équipe médicale spécialisée pour le traitement des traumatisés sévères;
  • d'une équipe multidisciplinaire affectée aux soins et à la réadaptation précoce;
  • d'expertise clinique en matière de soins infirmiers et de réadaptation;
  • d'une salle d' opération dédiée strictement aux cas urgents;
  • d'une unité de soins formée de lits de soins intensifs, de soins intermédiaires et de soins spécialisés à l'étage;
  • d'un registre des traumatismes;
  • et d'une coordination administrative du programme intra et inter-établissements.

 CONCLUSION

L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal entend bien continuer à investir dans le programme de traumatologie qui représente, depuis plus de vingt ans, un créneau de l'établissement et, aujourd'hui, un des quatre (4) axes prioritaires reconnus par l'ensemble des médecins, professionnels et gestionnaires de l'établissement.


   Cliquez ici pour obtenir une copie de la brochure "La trauma : Réussir avec passion

 

 

 




retour Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal (Départements et services médicaux)
HSCM-retour Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal (Page d'accueil)

 

 

 

 

 

Investissements de 22 millions à l'hôpital du Sacré-Coeur

PC
Édition du samedi 19 et du dimanche 20 août 2006

Mots clés : Québec (province), investissements, hôpital du sacré-coeur

L'hôpital du Sacré-Coeur, au nord de Montréal, recevra 22 millions de dollars pour améliorer divers services et unités, dont la moitié pour la rénovation du secteur alimentaire.



   Version pour imprimer
 
   Droit de reproduction

Deux ministres se sont déplacés jeudi pour en faire l'annonce à l'hôpital, Philippe Couillard, de la Santé et des Services sociaux, et Jacques Dupuis, de la Sécurité publique, qui est également député de Saint-Laurent, la circonscription dans laquelle se trouve cet hôpital.

Du montant de 21,8 millions de dollars, 10,9 millions de dollars seront consacrés à rénover les équipements du secteur alimentaire.

Cet hôpital est en effet un des plus anciens du Québec, a souligné la direction, à l'occasion d'une conférence de presse hier.

«Les services alimentaires n'ont pas été remplacés ni rénovés depuis 20, 25 années déjà.

Ç'a des impacts sur la qualité des services que nous dispensons aux patients», a commenté le directeur général de l'hôpital, Michel Larivière.

Parmi les autres investissements importants, 3,9 millions de dollars seront consacrés à l'étude du projet d'aménagement d'une unité de soins coronariens et trois millions de dollars seront ajoutés au budget de fonctionnement du programme régional de traumatologie tertiaire.

Les autres unités ou services qui bénéficieront de la somme, mais dans une proportion moindre, sont les unités de soins hyperbares, la chirurgie bariatrique (pour les cas d'obésité morbide), les soins préhospitaliers, la stérilisation des équipements ainsi que l'acquisition de divers équipements spécialisés.

L'hôpital du Sacré-Coeur devient donc, dans le domaine de la stérilisation des équipements, «le centre provincial de référence en stérilisation, avec l'Institut national de santé publique», a souligné le ministre Couillard.

 C'est donc à lui que pourront s'adresser les autres hôpitaux qui auront des interrogations à ce sujet.

 

Fait à noter, 50 % de la clientèle de cet hôpital provient de l'extérieur de Montréal. Il s'agit d'un des grands centres de traumatologie du Québec.


 

 

 

 

http://www.ledevoir.com/2006/08/19/116278.html

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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 20:58
RÉGION 01 BAS-SAINT-LAURENT
CSSS de Kamouraska
575, avenue Martin, Saint-Pascal, Qc, G0L 3Y0
(418) 856-7000
  • Hôpital Notre-Dame de Fatima
  • CLSC Les Aboiteaux
  • CHSLD Regroupement Kamouraska

CSSS de La Matapédia
135, rue de l'Hôpital, Amqui, Qc, G5J 2K5
(418) 629-2211
  • Centre hospitalier d'Amqui
  • Résidence Marie-Anne Ouellet
  • CLSC de la Vallée

CSSS de La Mitis
800, avenue du Sanatorium, Mont-Joli, Qc, G5H 3L6
(418) 775-7261
  • Hôpital de Mont-Joli Inc.
  • CLSC de la Mitis

CSSS de Matane
333, rue Thibault, Matane, Qc, G4W 2W5
(418) 562-3135
  • Centre hospitalier de Matane
  • CLSC de Matane
  • Centre d'hébergement de Matane
  • Les Centre hospitalier et CHSLD de Matane

CSSS de Rimouski-Neigette
150, avenue Rouleau, Rimouski, Qc, G5L 5T1
(418) 723-7851
  • Hôpital régional de Rimouski
  • CLSC Rimouski et centre d'hébergement Rimouski

CSSS de Rivière-du-Loup
75, rue Saint-Henri, Rivière-du-Loup, Qc, G5R 2A4
(418) 868-1000
  • Centre hospitalier régional du Grand-Portage
  • Résidence Saint-Joseph
  • Foyer de St-Antonin
  • CLSC Rivières et marées
  • Centre hospitalier de Rivière-du-Loup

CSSS de Témiscouata
58, rue de l'Église, Notre-Dame-du-Lac, Qc, G0L 1X0
(418) 899-6751
  • Hôpital de Notre-Dame-du-Lac
  • CLSC de Pohénégamook
  • Clinique médicale de Squatec
  • CLSC de Dégélis
  • CLSC de Cabano
  • Centre d'hébergement Beauséjour
  • Centre d'hébergement Villa de la Rivière
  • Domaine du Sommet
  • CLSC des Frontières et CHSLD du Témiscouata

CSSS des Basques
550, rue Notre-Dame Est, Trois-Pistoles, Qc, G0L 4K0
(418) 851-1111
  • CH Trois-Pistoles
  • CLSC des Basques
  • Villa Dubé


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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 20:48

l'avenir de l'hôpital Lachine - Les dés étaient pipés


 

 MONTREAL, le 11 août /CNW Telbec/ - Au sortir des consultations publiques sur l'avenir de leur établissement, les employés de l'hôpital Lachine se sentent floués.
 Après des semaines d'audiences publiques sur un dossier chaud qui avait mobilisé les élus et la population de l'arrondissement, on a profité de l'été pour déposer un rapport que le syndicat SCFP juge "complaisant" et "biaisé". D'entrée de jeu, on constate que le mandat et les règles du jeu fixés au départ n'ont pas été respectés. Si, lors de la première séance d'information, le 11 avril dernier, le président de la commission affirmait qu'il ne donnerait "aucune opinion et aucune recommandation, je ne ferai que rapporter les points de vue apportés lors des audiences", le rapport final est loin d'être aussi neutre. "En fait, souligne Mathieu Harkins, porte-parole du SCFP, le président de la commission semble avoir endossé tous les points de vue du conseil d'administration du CSSS Dorval-LaSalle-Lachine. Son exposé est fait sur mesure pour plaire à qui veut réduire le rôle de l'hôpital Lachine, ceux-là même qui l'ont nommé." Le rapport final indique que la majorité des participants aux audiences étaient d'accord avec l'ensemble du projet, mais il ne fournit aucun détail là-dessus. "Nous sommes déçus! Dans une levée de boucliers remarquée, le SCFP, la FTQ, le la FIIQ, l'APTS, plusieurs médecins, des citoyens et les élus municipaux de Lachine et Dorval se sont opposés au changement de mission de l'hôpital, tel que proposé. Cependant, la commission conclut que les centres de services et de soins de santé ambulatoires seront les "hôpitaux de l'avenir", une affirmation non-fondée et fortement contestable. Ainsi, le projet proposé aurait donc "la cote", comme si la santé des gens était affaire de mode. Si on avait su que cette consultation ne servirait qu'à confirmer une décision déjà prise, nous n'y aurions pas participé", ajoute Mathieu Harkins. Le SCFP ne baisse pas les bras pour autant et entend bien poursuivre la lutte pour assurer la survie de l'hôpital Lachine comme établissement de première ligne qui accueille des ambulances et offre un service de soins intensifs à la population de l'arrondissement. Le SCFP représente quelque 20 000 membres dans la santé et les services sociaux au Québec. En plus de ce secteur d'activité, le SCFP est présent dans 10 autres secteurs, entre autres, l'éducation, les municipalités, le transport urbain, le transport aérien, les sociétés d'Etat et organismes publics québécois, l'hydroélectricité et les communications. Comptant au total près de 100 000 membres au Québec, il est le plus important syndicat affilié de la FTQ. << Ce communiqué et d'autres infos sur le site scfp.qc.ca >> 


SYNDICAT CANADIEN DE LA FONCTION PUBLIQUE (FTQ) - Renseignements sur cet organisme
Communiqués de presse
Communiqués de presse

(422)
Archives photo
Archives photo

 >DITES-LE À UN AMI  >VERSION IMPRIMABLE  >ABONNEZ-VOUS À SENTINELLE CNW

 

 http://www.tqs.ca/infos/montreal/2006/07/Autre-conflit-au-CH-de-Lachine--on-ne-recoit-plus-de-patients-en-ambulance-4248.html

Autre conflit au CH de Lachine: on ne reçoit plus de patients en ambulance
le jeudi 27 juillet 2006 - 13 h 44
MONTREAL (PC) - A Montréal, le Centre hospitalier de Lachine est plongé dans une nouvelle tourmente: voilà qu'en raison de travaux qui seront entrepris au bloc opératoire et d'une pénurie de spécialistes, l'urgence ne pourra plus recevoir de patients en ambulance.

C’est la décision qu’a prise l’Agence de développement des réseaux locaux de santé et de services sociaux de Montréal, vendredi dernier, à l’issue d’une rencontre avec le Centre de santé et de services sociaux de Dorval-Lachine-LaSalle et le Réseau universitaire intégré de santé de l’Université McGill.

La présidente du syndicat des employés auxiliaires et de soutien de l’hôpital, Christiane Laberge, déplore que l’urgence ne prenne plus d’ambulances alors qu’un patient peut toujours s’y rendre en taxi.

Mme Laberge rappelle que le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, a mis sur pied un comité pour réfléchir à l’avenir de l’hôpital et faire des recommandations, mais elle croit que l’Agence, elle, a déjà pris sa décision.

Le président de la Table sectorielle de Lachine, le docteur Paul Saba, affirme que la décision de l’Agence met la vie de patients en danger. L’un de ses confrères, Théodore Kass, déplore qu’on veuille transformer ce vieil hôpital en gros CLSC. Ces deux médecins oeuvrent à cet hôpital de l’arrondissement Lachine depuis plusieurs années.

Les avocats des opposants étudient la possibilité de recours devant les tribunaux; ils doivent tenir une conférence de presse à cet effet, ce matin (jeudi), au Centre hospitalier de Lachine.

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Autre conflit au CH de Lachine: on ne reçoit plus de patients en ambulance
le jeudi 27 juillet 2006 - 13 h 44
MONTREAL (PC) - A Montréal, le Centre hospitalier de Lachine est plongé dans une nouvelle tourmente: voilà qu'en raison de travaux qui seront entrepris au bloc opératoire et d'une pénurie de spécialistes, l'urgence ne pourra plus recevoir de patients en ambulance.

C’est la décision qu’a prise l’Agence de développement des réseaux locaux de santé et de services sociaux de Montréal, vendredi dernier, à l’issue d’une rencontre avec le Centre de santé et de services sociaux de Dorval-Lachine-LaSalle et le Réseau universitaire intégré de santé de l’Université McGill.

La présidente du syndicat des employés auxiliaires et de soutien de l’hôpital, Christiane Laberge, déplore que l’urgence ne prenne plus d’ambulances alors qu’un patient peut toujours s’y rendre en taxi.

Mme Laberge rappelle que le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, a mis sur pied un comité pour réfléchir à l’avenir de l’hôpital et faire des recommandations, mais elle croit que l’Agence, elle, a déjà pris sa décision.

Le président de la Table sectorielle de Lachine, le docteur Paul Saba, affirme que la décision de l’Agence met la vie de patients en danger. L’un de ses confrères, Théodore Kass, déplore qu’on veuille transformer ce vieil hôpital en gros CLSC. Ces deux médecins oeuvrent à cet hôpital de l’arrondissement Lachine depuis plusieurs années.

Les avocats des opposants étudient la possibilité de recours devant les tribunaux; ils doivent tenir une conférence de presse à cet effet, ce matin (jeudi), au Centre hospitalier de Lachine.

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le jeudi 27 juillet 2006 - 13 h 44
MONTREAL (PC) - A Montréal, le Centre hospitalier de Lachine est plongé dans une nouvelle tourmente: voilà qu'en raison de travaux qui seront entrepris au bloc opératoire et d'une pénurie de spécialistes, l'urgence ne pourra plus recevoir de patients en ambulance.

C’est la décision qu’a prise l’Agence de développement des réseaux locaux de santé et de services sociaux de Montréal, vendredi dernier, à l’issue d’une rencontre avec le Centre de santé et de services sociaux de Dorval-Lachine-LaSalle et le Réseau universitaire intégré de santé de l’Université McGill.

La présidente du syndicat des employés auxiliaires et de soutien de l’hôpital, Christiane Laberge, déplore que l’urgence ne prenne plus d’ambulances alors qu’un patient peut toujours s’y rendre en taxi.

Mme Laberge rappelle que le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, a mis sur pied un comité pour réfléchir à l’avenir de l’hôpital et faire des recommandations, mais elle croit que l’Agence, elle, a déjà pris sa décision.

Le président de la Table sectorielle de Lachine, le docteur Paul Saba, affirme que la décision de l’Agence met la vie de patients en danger. L’un de ses confrères, Théodore Kass, déplore qu’on veuille transformer ce vieil hôpital en gros CLSC. Ces deux médecins oeuvrent à cet hôpital de l’arrondissement Lachine depuis plusieurs années.

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C’est la décision qu’a prise l’Agence de développement des réseaux locaux de santé et de services sociaux de Montréal, vendredi dernier, à l’issue d’une rencontre avec le Centre de santé et de services sociaux de Dorval-Lachine-LaSalle et le Réseau universitaire intégré de santé de l’Université McGill.

La présidente du syndicat des employés auxiliaires et de soutien de l’hôpital, Christiane Laberge, déplore que l’urgence ne prenne plus d’ambulances alors qu’un patient peut toujours s’y rendre en taxi.

Mme Laberge rappelle que le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, a mis sur pied un comité pour réfléchir à l’avenir de l’hôpital et faire des recommandations, mais elle croit que l’Agence, elle, a déjà pris sa décision.

Le président de la Table sectorielle de Lachine, le docteur Paul Saba, affirme que la décision de l’Agence met la vie de patients en danger. L’un de ses confrères, Théodore Kass, déplore qu’on veuille transformer ce vieil hôpital en gros CLSC. Ces deux médecins oeuvrent à cet hôpital de l’arrondissement Lachine depuis plusieurs années.

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  • Un bambin se noie dans les Laurentides
  • Richard Bouillon a-t-il amené son secret avec lui ?
  • Lett
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    19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 20:33

     

     

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    Mention spéciale du Ministre de la Santé et des Services sociaux au CSSS de Rivière-du-Loup
    Raymond April, Centre de santé et services sociaux de Rivière-du-Loup
    le 28 juillet 2006

     

    Rivière-du-Loup — Lors de la 25e cérémonie de remise des prix d'excellence du réseau de la Santé et des Services sociaux, le ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Philippe Couillard, et la ministre déléguée à la protection de la jeunesse et de la réadaptation, Mme Margaret Delisle, décernaient, le 8 juin dernier, une mention spéciale au CSSS de Rivière-du-Loup, accompagnée d'un montant de 5 000,00 $.

    Ce prix, initiative personnelle du ministre M. Couillard, visait à reconnaître aux urgences les plus performantes un mérite spécial pour les résultats obtenus au cours de la dernière année.

     

    Aussi, ce n'est pas par le biais d'un concours ou de proposition de candidatures que le CSSS de Rivière-du-Loup a mérité ce prix exceptionnel, mais plutôt grâce à certains indicateurs de performance suivis par l'équipe ministérielle.

     

    Ces 2 indicateurs sont la durée moyenne de séjours à l'urgence qui est passée de 14 heures l'an passé à 9,8 heures cette année et le pourcentage de séjours dépassant 48 heures qui est passé de 4,3 % à moins de 0,5 % en 2005-2006.

     

     Comme le soulignait M. Raymond April, directeur général, dans un communiqué à l'interne, « ces résultats spectaculaires sont le fruit de la concertation et d'efforts tant en aval, en amont qu'à l'urgence même ».

     

     Il soulignait alors la collaboration et le beau travail d'équipe qui ont amené à ces résultats concluants.

    Cette éclatante nouvelle rejaillit donc sur toute

    l'organisation du CSSS de Rivière-du-Loup et sur ses partenaires, comme les deux groupes de médecine familiale (GMF) et c'est toute la population qui en bénéficie par une meilleure accessibilité à l'urgence.

    Mise à jour : 2006-07-28 | Version imprimable | Version XML


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    19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 08:16

     

    FONDATION  CHG  HAUTE YAMASKA 

     

     

    La Voix de l'Est   Granby

    La Fondation du CHG -

    devenu le Centre de santé et de services sociaux de la Haute-Yamaska - s'apprête à lancer sa nouvelle campagne de financement, avec de nouvelles priorités mieux collées aux besoins de l'établissement de santé.

    L'assemblée générale de l'organisme se tiendra le 27 septembre prochain, mais on tait pour le moment la date du lancement officiel de la campagne quinquennale 2006-2010. Ce qu'on sait toutefois, c'est que l'objectif a été fixé à 5,5 millions $.

    La fondation prévoit faire usage de cette somme en fonction de projets bien définis. Trois millions $ seront consacrés au réaménagement et à l'agrandissement de l'unité des soins intensifs et du centre mère-enfant, 1,2 million $ permettront de moderniser l'unité de courte durée du 6e étage ouest,

     

    708 000 $ serviront à l'achat d'un appareil de mammographie numérique, alors qu'une somme de 130 000 $ sera destinée à l'aménagement d'une salle de chirurgie endoscopique.

    Plus de détails dans La Voix de l'Est de mardi.


     

     

     

     

     

    .

     

    http://www.cyberpresse.ca/article/20060815/CPACTUALITES/608150826/5264/CPACTUALITES

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    19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 08:14
    Hémodialyse
    Un service sera bientôt offert au Témiscamingue
    Mise à jour le mardi 15 août 2006, 15 h 57 .


    Hémodialyse
    Hémodialyse
    Le premier ministre du Québec, Jean Charest, confirme qu'un service d'hémodialyse sera bientôt offert au Centre de santé et de services sociaux de Ville-Marie, au Témiscamingue.

    L'annonce sera faite d'ici quelques semaines par le ministre de la Santé, Philippe Couillard, et le député Daniel Bernard. Le ministre Couillard viendra dans la région pour annoncer l'implantation du service.

    De passage dans les studios de Radio-Canada, mardi matin, Jean Charest a tenu à souligner qu'organiser un tel service nécessite beaucoup de travail et la formation de personnes spécialisées.

    « On est allé aussi rapidement que c'était possible de le faire, parce qu'on est très sensible aux gens qui reçoivent des traitements d'hémodialyse. C'est un fardeau qui est lourd dans leur vie », a-t-il affirmé.

    Le Témiscamingue compte près d'une dizaine de personnes qui souffrent d'insuffisance rénale et qui doivent voyager à Rouyn-Noranda deux fois par semaine pour recevoir les traitements dont ils ont besoin.

    La décision survient après qu'une de ces patientes, Louise Plasse, eut menacé d'interrompre ses traitements le 18 septembre prochain parce qu'elle ne se sentait plus la force de voyager.


     


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    17 août 2006 4 17 /08 /août /2006 12:34
    Un nouveau tomodensitomètre pour le Centre hospitalier de Beauce
    8/10/2006 1:18:41 AM

    C’est un investissement de 1,3 million de dollars que Mme Diane Leblanc, députée de Beauce-Sud, a annoncé mercredi pour permettre l’acquisition par le Centre hospitalier, d’un nouveau tomodensitomètre, appelé communément scanner. Mme Leblanc faisait cette annonce au nom de son collègue ministre de la Santé, M. Philippe Couillard.

    L’ancien appareil, qui date déjà d’une dizaine d’années, n’est plus en mesure de répondre adéquatement aux besoins du centre hospitalier alors que le nouvel appareil, plus performant, renforcera la capacité diagnostique et thérapeutique du centre de santé. De Beauce. Les patients en seront les premiers bénéficiaires, et les professionnels de la santé trouveront également une grande satisfaction à travailler avec un appareil plus récent.

    L’an dernier seulement, l’ancien appareil a permis 9 000 examens malgré le fait qu’il demande régulièrement d’être remis en état. Lorsque le Centre hospitalier l’a acquis en 1996, on prévoyait réaliser 3 500 examens par année. Cependant depuis un certain temps le vieil appareil était fréquemment en réparation.

    L’acquisition et l’installation du nouvel appareil devraient prendre environ huit mois, mais on prévoit qu’il n’y aurait qu’une semaine d’interruption du service à la clientèle. Durant ce laps de temps, on fera des ententes de services principalement avec les hôpitaux de Thetford Mines et Lévis pour répondre aux urgences.

    Il faudra effectuer des travaux d’aménagement des lieux, dont aussi la climatisation, pour un montant estimé à 150 000$ de précisé M. Jean-Yves Boily, vice-président du conseil d’administration du Centre hospitalier.

    De son côté, le docteur Yves Loiselle, chef du département de radiologie, a précisé que l’acquisition de cet appareil était la priorité numéro un cette année, car l’ancien appareil était souvent brisé et que certains types d’examens, comme pour l’évaluation du foie, des vaisseaux, de l’aorte, exigent maintenant des appareils plus performants.

    Pour sa part, Mme Diane Leblanc a précisé que dans le domaine de la santé, comme dans la plupart des secteurs de la société, l’innovation technologique occupe une place prépondérante. « En imagerie médicale, nombreux sont les équipements qui, comme le tomodensitomètre, offrent une précision exceptionnelle aux cliniciens, lesquels peuvent ainsi poser des diagnostics plus facilement et, dans de nombreux cas, plus rapidement », a-t-elle indiqué.

    Elle a aussi a profité de cette annonce pour rappeler les nombreuses améliorations apportées au réseau local de santé et de services sociaux depuis avril 2003. «Vous vous souviendrez que le ministre Couillard était présent ici en février dernier pour l’inauguration du nouveau service d’imagerie par résonance magnétique. Cette technologie a été acquise et installée grâce à un investissement total de 2 756 000 dollars. J’ai également eu le plaisir d’annoncer l’octroi de 624 000 dollars à l’Unité de médecine familiale, affiliée à la faculté de médecine de l’Université Laval, afin d’accueillir annuellement, dans la région de

     Beauce-Etchemins, sept médecins résidents susceptibles de continuer leur carrière et d’installer leur famille dans notre région. Ces gestes témoignent de notre ferme volonté d’améliorer le réseau de la santé et des services sociaux», a conclu madame Leblanc.

    Notre photo : De gauche à droite le Dr Yves Loiselle, Mme Diane Leblanc, députée de Beauce-Sud et M. Jean-Yves Boily, vice-président du conseil d’administration du Centre de santé et de services sociaux de Beauce.

     

     

     

     

     
     
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    16 août 2006 3 16 /08 /août /2006 20:04

     

    LA SARRE   ROY


     http://radio-canada.ca/regions/abitibi/2006/04/25/003-radiologiste.shtml

     

    Le 25 avril 2006 - 14:37
    Le radiologiste de La Sarre refuse les écographies
    AgenceNews
    _
    Le seul radiologiste de l’Hôpital de La Sarre est en moyen de pression. A cette fin, il a réduit ses disponibilités et refuse maintenant de pratiquer des écographies.

    Selon les informations rapportées par la SRC, le radiologiste a un permis de pratique restreint à la région depuis deux ans et il fait des pressions pour que son permis soit transféré à une autre région de la province.

    Pendant ce temps, les femmes enceintes doivent se déplacer à Amos ou à Rouyn-Noranda pour avoir leur écographie.

    L’agence régionale de la santé et des services sociaux s’est dite préoccupée par cette pression. Elle estime que les négociations pourraient prendre fin d’ici deux semaines.

     

     

    Hôpital de La Sarre
    Le radiologiste refuse de faire des échographies
    Mise à jour le mardi 25 avril 2006, 10 h 51 .


    Femme enceinte
    Les femmes enceintes de l'Abitibi Ouest sont victimes des moyens de pression du seul radiologiste du Centre de santé et des services sociaux des aurores boréales.

    Le radiologiste, qui est d'origine européenne, travaille à La Sarre depuis 2 ans avec un permis restrictif en poche. Il souhaite maintenant que son permis soit transféré dans une autre région du Québec.

    En attendant, il a réduit sa disponibilité et refuse d'effectuer des échographies. Le radiologiste veut ainsi augmenter la pression sur la direction de l'établissement.

    « Présentement, on est en période de négociations pour arriver à une entente qui nous permettra de répondre à la fois aux besoins de notre population et de conserver une qualité de vie à nos professionnels », déclare le directeur général du Centre de santé des aurores boréales, Paul Fortin.

    Solution attendue avec impatience

    Les femmes enceintes de l'Abitibi-Ouest doivent donc parcourir plusieurs dizaines de kilomètres pour se rendre à Amos ou à Rouyn-Noranda afin de recevoir les services d'échographie.

    femme au volant
    L'Agence régionale de la santé et des services sociaux souhaite que les négociations donnent rapidement des résultats.

    « L'agence a la responsabilité de s'assurer que le Centre de santé offre les services dont la population a besoin. Donc, on suit ça de très près. Je pense que ça devrait se régler dans une semaine ou deux », dit Réal Lacombe de l'Agence régionale de la santé et des services sociaux.

    Chaque année, plus de 215 femmes donnent naissance à des enfants à La Sarre.


     


     

     

     

     

     

     

     

     


     

     

    http://radio-canada.ca/regions/abitibi/2006/08/06/002-perte-radiologiste.shtml

     

     http://quebec-canada.over-blog.com/liste-article-blog.php/ 



    Le radiologiste Éric Roy, originaire de la France, est arrivé à La Sarre en 2004. En avril dernier, il a manifesté son intention de quitter la région.

    M. Roy a aussi demandé le droit de réduire le nombre d'échographies obstétricales, un type d'examen qu'il ne pratiquait plus en France et qu'il considère stressant.

    Le Dr Roy dit quitter la région pour offrir des études spécifiques à ses enfants. Il ajoute que son permis restrictif annuel lui permet d'exercer à Mont-Laurier. Il quittera donc La Sarre le 12 août. Son départ va causer une pénurie au centre de santé des Aurores boréales.

    « La population va devoir subir un transfert vers un autre établissement s'il n'y a pas de radiologiste dans l'établissement de La Sarre », dit la directrice des soins professionnels, Annie Léger.

    Le Réseau de la santé et des services sociaux des Aurores boréales estime qu'il lui faudra deux ans pour trouver un remplaçant. En attendant, il fera appel à des radiologistes dépanneurs. Il se pourrait que le Dr Éric Roy en fasse partie.

    « Je suis ouvert, même s'il y a eu des mots difficiles avec des confrères et l'administration. Je suis médecin avant tout et je sais bien qu'il y a une population et je reviendrais, ça c'est clair, si on veut de moi », soutient M. Roy. Les discussions se poursuivent à ce sujet jusqu'à son départ.



    Taux de fécondité
    L'Abitibi-Témiscamingue bonne deuxième
    Mise à jour le samedi 5 août 2006, 13 h 22 .


    sperme-ovule
    L'Abitibi-Témiscamingue a l'un des taux de fécondité les plus élevés au Québec en 2005. Le nombre d'enfants par femme s'établit à 1,67, alors que la moyenne québécoise est de 1,51.

    Seule la région du Nord-du-Québec présente un taux plus élevé (2,59). En Abitibi-Témiscamingue, la situation s'améliore depuis les dernières années. Le taux fécondité se situe présentement à 1, 67. Selon l'Institut de la statistique du Québec, ce nombre pourrait continuer d'augmenter en 2006.

    La chef de programme du Réseau de la santé des Aurores boréales de La Sarre, Carole Touzin, soutient qu'il y a eu une augmentation des naissances au centre de santé en 2005. Au total, 178 bébés ont vu le jour.


     


    Radiologie
    Pénurie et solution
    Mise à jour le vendredi 29 septembre 2006, 15 h 48 .


    Radiologie
    (archives)
    Le Centre de santé et de service sociaux des Aurores Boréales, à La Sarre, mettra en place un projet de téléradiologie numérique avec le Centre de santé de la Vallée-de-la-Gatineau. Une entente devrait être conclue d'ici quelques semaines, et une première période d'essai d'une durée de trois mois sera mise en branle bientôt.

    Depuis le départ du docteur Éric Roy, la direction du Centre de santé de La Sarre cherchait un moyen d'assurer un suivi radiologique à ses patients.

    La pénurie de radiologistes ne se fait pas sentir qu'à La Sarre. La liste d'attente s'allonge également en radiologie au Centre de santé de Rouyn-Noranda.

    Le chef technologue du service d'imagerie médicale, René Lamonde, explique qu'un seul radiologiste est en fonction au centre de santé, alors que le plan d'effectif médical en prévoit deux.

    Le Centre de santé de Rouyn-Noranda doit actuellement gérer les demandes d'examen du secteur de Ville-Marie et de La Sarre.


    Radiologie
    Pénurie et solution
    Mise à jour le vendredi 29 septembre 2006, 15 h 48 .


    Radiologie
    (archives)
    Le Centre de santé et de service sociaux des Aurores Boréales, à La Sarre, mettra en place un projet de téléradiologie numérique avec le Centre de santé de la Vallée-de-la-Gatineau. Une entente devrait être conclue d'ici quelques semaines, et une première période d'essai d'une durée de trois mois sera mise en branle bientôt.

    Depuis le départ du docteur Éric Roy, la direction du Centre de santé de La Sarre cherchait un moyen d'assurer un suivi radiologique à ses patients.

    La pénurie de radiologistes ne se fait pas sentir qu'à La Sarre. La liste d'attente s'allonge également en radiologie au Centre de santé de Rouyn-Noranda.

    Le chef technologue du service d'imagerie médicale, René Lamonde, explique qu'un seul radiologiste est en fonction au centre de santé, alors que le plan d'effectif médical en prévoit deux.

    Le Centre de santé de Rouyn-Noranda doit actuellement gérer les demandes d'examen du secteur de Ville-Marie et de La Sarre.


    Radiologie
    Pénurie et solution
    Mise à jour le vendredi 29 septembre 2006, 15 h 48 .


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    (archives)

    Le Centre de santé et de service sociaux des Aurores Boréales, à La Sarre, mettra en place un projet de téléradiologie numérique avec le Centre de santé de la Vallée-de-la-Gatineau. Une entente devrait être conclue d'ici quelques semaines, et une première période d'essai d'une durée de trois mois sera mise en branle bientôt.

    Depuis le départ du docteur Éric Roy, la direction du Centre de santé de La Sarre cherchait un moyen d'assurer un suivi radiologique à ses patients.

    La pénurie de radiologistes ne se fait pas sentir qu'à La Sarre.

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    Le chef technologue du service d'imagerie médicale,

     René Lamonde, explique qu'un seul radiologiste est en fonction au centre de santé,

    alors que le plan d'effectif médical en prévoit deux.

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    16 août 2006 3 16 /08 /août /2006 17:58

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