Espèce en péril 8000 $ pour protéger le garrot d'Islande
Mise à jour le jeudi 10 août 2006, 11 h 13 .
Le conseil de bassin versant de la
rivière des Escoumins
s'allie à la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement afin de protéger le garrot d'Islande, une espèce de canard en péril.
La première étape du projet de sauvegarde de 8000 $ sera le lancement d'une campagne de sensibilisation.
Les moeurs de cet oiseau sont très peu connues. On sait toutefois que le garrot islandais vit sur des lacs sans poisson et niche dans de vieux troncs d'arbre. C'est pourquoi l'exploitation forestière, l'ensemencement de plan d'eau et la villégiature ont des impacts importants sur l'espèce.
La directrice du conseil indique que c'est pour cette raison qu'il est important d'impliquer tous les utilisateurs de la forêt.
Selon le Service canadien de la faune, il ne resterait plus que 200 000 garrots islandais dans le monde, dont environ 4500 hivernent dans l'estuaire du Saint-Laurent. Québec songerait même à le classer comme espèce menacée. La Haute-Côte-Nord est une des régions comptant le plus grand nombre de ces oiseaux sur son territoire.
Chambord, elle fut fondé en 1901 quand Damas Jalbert du Lac-Bouchette y construisit une usine à papier car il pouvait produire son électricité à l'aide de ses merveilleuse chutes de 72 et 35 m et la rivière Ouiatchouan.
Au décès de monsieur Jalbert (1904) la compagnie fut achetée par des américains pour être rachetée ensuite par la compagnie de pulpe de Chicoutimi en 1909. La grippe espagnole y fit des ravages parmi sa petite population.
En 1927, la Quebec Pulp and Paper Miffs Ltd qui possédait l'usine depuis seulement 1 année, cessa tout activité en raison de la baisse de la demande de copeau de bois.
Le site abandonné fut repris dans les années 70 pour y faire un «village musée des années 20»
C’est un investissement de 1,3 million de dollars que Mme Diane Leblanc, députée de Beauce-Sud, a annoncé mercredi pour permettre l’acquisition par le Centre hospitalier, d’un nouveau tomodensitomètre, appelé communément scanner. Mme Leblanc faisait cette annonce au nom de son collègue ministre de la Santé, M. Philippe Couillard.
L’ancien appareil, qui date déjà d’une dizaine d’années, n’est plus en mesure de répondre adéquatement aux besoins du centre hospitalier alors que le nouvel appareil, plus performant, renforcera la capacité diagnostique et thérapeutique du centre de santé. De Beauce. Les patients en seront les premiers bénéficiaires, et les professionnels de la santé trouveront également une grande satisfaction à travailler avec un appareil plus récent.
L’an dernier seulement, l’ancien appareil a permis 9 000 examens malgré le fait qu’il demande régulièrement d’être remis en état. Lorsque le Centre hospitalier l’a acquis en 1996, on prévoyait réaliser 3 500 examens par année. Cependant depuis un certain temps le vieil appareil était fréquemment en réparation.
L’acquisition et l’installation du nouvel appareil devraient prendre environ huit mois, mais on prévoit qu’il n’y aurait qu’une semaine d’interruption du service à la clientèle. Durant ce laps de temps, on fera des ententes de services principalement avec les hôpitaux de Thetford Mines et Lévis pour répondre aux urgences.
Il faudra effectuer des travaux d’aménagement des lieux, dont aussi la climatisation, pour un montant estimé à 150 000$ de précisé M. Jean-Yves Boily, vice-président du conseil d’administration du Centre hospitalier.
De son côté, le docteur Yves Loiselle, chef du département de radiologie, a précisé que l’acquisition de cet appareil était la priorité numéro un cette année, car l’ancien appareil était souvent brisé et que certains types d’examens, comme pour l’évaluation du foie, des vaisseaux, de l’aorte, exigent maintenant des appareils plus performants.
Pour sa part, Mme Diane Leblanc a précisé que dans le domaine de la santé, comme dans la plupart des secteurs de la société, l’innovation technologique occupe une place prépondérante. « En imagerie médicale, nombreux sont les équipements qui, comme le tomodensitomètre, offrent une précision exceptionnelle aux cliniciens, lesquels peuvent ainsi poser des diagnostics plus facilement et, dans de nombreux cas, plus rapidement », a-t-elle indiqué.
Elle a aussi a profité de cette annonce pour rappeler les nombreuses améliorations apportées au réseau local de santé et de services sociaux depuis avril 2003. «Vous vous souviendrez que le ministre Couillard était présent ici en février dernier pour l’inauguration du nouveau service d’imagerie par résonance magnétique. Cette technologie a été acquise et installée grâce à un investissement total de 2 756 000 dollars. J’ai également eu le plaisir d’annoncer l’octroi de 624 000 dollars à l’Unité de médecine familiale, affiliée à la faculté de médecine de l’Université Laval, afin d’accueillir annuellement, dans la région de
Beauce-Etchemins, sept médecins résidents susceptibles de continuer leur carrière et d’installer leur famille dans notre région. Ces gestes témoignent de notre ferme volonté d’améliorer le réseau de la santé et des services sociaux», a conclu madame Leblanc.
Notre photo : De gauche à droite le Dr Yves Loiselle, Mme Diane Leblanc, députée de Beauce-Sud et M. Jean-Yves Boily, vice-président du conseil d’administration du Centre de santé et de services sociaux de Beauce.
(CHLN)- Deux villes de la région sont sur les rangs pour accueillir les futurs locaux de l'entreprise Durham Contact Centre, un sous-traitant de BCE, qui cherche à établir un centre d'appel qui amènerait la création de 350 emplois.
La vice-présidente de DCC, Sandra Karzmichuk, a confirmé à CHLN que l'entreprise allait faire un choix entre les villes de Shawinigan, de Trois-Rivières ou de Lévis pour établir son premier bureau au Québec. D'ailleurs, elle confirme que les activités débuteraient à la mi-novembre.
Pour démontrer l'intérêt de Trois-Rivières, les intervenants locaux feront paraître, cette fin de semaine, une annonce afin d'amasser une banque de curriculum vitae.
Même chose à Shawinigan, où la mairesse Lise Landry a semblé surprise d'apprendre que la nouvelle était maintenant publique.
Au total, Durham Contact Center emploie près de 600 personnes à Oshawa et à Trenton, en Ontario.
Il y a quatre églises protestantes à Métis-sur-Mer. Ces église ont joué un rôle important dans le développement de cette communauté. Les premiers métissiens sont presbytériens; la communauté religieuse s'organise en 1824 avec la visite de l'archidiacre, six ans après l'arrivée des premiers colons écossais de John MacNider, seigneur des lieux depuis 1807.
Ainsi, la première église est construite en 1847. Le bâtiment, qui existe encore de nos jours n'a plus le même aspect ni la même fonction qu'auparavant. L'église presbytérienne se situait dans l'aile ouest du bâtiment connu aujourd'hui sous le nom de Killicrankie Inn.
L'église unie de Métis-sur-Mer, construite en 1866, est une église méthodiste wesleyenne jusqu'en 1925. En 1883, Métis-sur-mer a donc une église presbytérienne à la Pointe Legatt et une église méthodiste à Petit-Métis.
La croissance de plus en plus rapide de la population estivale, le besoin d'une seconde église presbytérienne se fait rapidement sentir. En 1883 est donc fondée l'église presbytérienne du Petit-Métis plus connue sous le nom de l'église de la colline ou Kirk on the Hill pour satisfaire les besoins de la communauté estivale. Au début des années 1920, des rénovations sont effectuées : de nouvelles fondations sont construites, le toit et la porte de derrière sont restaurés. On achève l'installation de l'électricité en cours depuis trois ans. Le clocher, complètement séparé de l'église comme les campaniles que l'on retrouve en Europe, est construit en 1923. Le fait d'avoir un clocher complètement détaché du reste de l'église est unique au Québec.
L'église d'été anglicane de Saint-Georges est construite en 1905 sous le patronage de la famille Molson, qui prend ses vacances dans le coin.
L'église presbytérienne de la Pointe Legatt est reconstruite à Métis-sur-Mer en 1884 en l'emplacement de celle de Killiecrankie Inn
À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
Des résidences construites spécialement pour accueillir des plantations de cannabis, il y en a dans la région. Même si ce phénomène est moins répandu qu'ailleurs au Québec, les policiers ont déjà découvert quelques adresses où les seuls occupants étaient... des serres hydroponiques!
À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
Deux d'entre elles étaient situées côte à côte, rue Des Cigognes et chemin Coupland. La troisième, qui appartenait au même individu, est située dans la rue Ménard.
«Elles ont été construites dans le but de créer une serre. L'électricité avait même été contournée», affirme le lieutenant Jocelyn Desrochers, responsable du poste de la SQ en Haute-Yamaska.
À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
Des résidences construites spécialement pour accueillir des plantations de cannabis, il y en a dans la région. Même si ce phénomène est moins répandu qu'ailleurs au Québec, les policiers ont déjà découvert quelques adresses où les seuls occupants étaient... des serres hydroponiques!
À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
Deux d'entre elles étaient situées côte à côte, rue Des Cigognes et chemin Coupland. La troisième, qui appartenait au même individu, est située dans la rue Ménard.
«Elles ont été construites dans le but de créer une serre. L'électricité avait même été contournée», affirme le lieutenant Jocelyn Desrochers, responsable du poste de la SQ en Haute-Yamaska.
À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
Des résidences construites spécialement pour accueillir des plantations de cannabis, il y en a dans la région. Même si ce phénomène est moins répandu qu'ailleurs au Québec, les policiers ont déjà découvert quelques adresses où les seuls occupants étaient... des serres hydroponiques!
À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
Deux d'entre elles étaient situées côte à côte, rue Des Cigognes et chemin Coupland. La troisième, qui appartenait au même individu, est située dans la rue Ménard.
«Elles ont été construites dans le but de créer une serre. L'électricité avait même été contournée», affirme le lieutenant Jocelyn Desrochers, responsable du poste de la SQ en Haute-Yamaska.
À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
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À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
Deux d'entre elles étaient situées côte à côte, rue Des Cigognes et chemin Coupland. La troisième, qui appartenait au même individu, est située dans la rue Ménard.
«Elles ont été construites dans le but de créer une serre. L'électricité avait même été contournée», affirme le lieutenant Jocelyn Desrochers, responsable du poste de la SQ en Haute-Yamaska.
À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
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À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
Deux d'entre elles étaient situées côte à côte, rue Des Cigognes et chemin Coupland. La troisième, qui appartenait au même individu, est située dans la rue Ménard.
«Elles ont été construites dans le but de créer une serre. L'électricité avait même été contournée», affirme le lieutenant Jocelyn Desrochers, responsable du poste de la SQ en Haute-Yamaska.
À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
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À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
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À Shefford, trois résidences ont été perquisitionnées par les policiers de la Sûreté du Québec. Une serre de culture de cannabis occupait la maison située rue Des Cigognes. La SQ a découvert le pot aux roses à la suite d'un incendie, en mars dernier. photo Danièle Francis
Des résidences construites spécialement pour accueillir des plantations de cannabis, il y en a dans la région. Même si ce phénomène est moins répandu qu'ailleurs au Québec, les policiers ont déjà découvert quelques adresses où les seuls occupants étaient... des serres hydroponiques!
À Shefford, les policiers de la Sûreté du Québec ont découvert trois maisons, construites dans le seul but d'y aménager des serres de culture de marijuana.
Deux d'entre elles étaient situées côte à côte, rue Des Cigognes et chemin Coupland. La troisième, qui appartenait au même individu, est située dans la rue Ménard.
«Elles ont été construites dans le but de créer une serre. L'électricité avait même été contournée», affirme le lieutenant Jocelyn Desrochers, responsable du poste de la SQ en Haute-Yamaska.
Stratégie d'investissements sylvicoles - PROGRAMME SUPPLÉMENTAIRE DE 10 MILLIONS DE DOLLARS DÈS CETTE ANNÉE EN FORÊT PRIVÉE ET EN FORÊT PUBLIQUE
QUÉBEC, le 10 août /CNW Telbec/ - Le ministre des Ressources naturelles et de la Faune, M. Pierre Corbeil, a annoncé aujourd'hui que le gouvernement du Québec a autorisé des investissements de 10 millions de dollars, dès 2006-2007, dans le cadre d'un nouveau programme découlant de la Stratégie d'investissements sylvicoles qui sera proposée au cours des prochains mois. «Je suis heureux d'annoncer cette somme dont la moitié ira, cette année, en forêt privée, tel que je m'y étais engagé, et l'autre en forêt publique; il s'agit ici d'un montant additionnel qui sera investi essentiellement dans une perspective de production de matière ligneuse, ce qui répond à une des nombreuses recommandations de la Commission Coulombe. Ces investissements s'inscrivent dans la foulée de la modernisation de la gestion forestière que notre gouvernement a entreprise. Nous mettons en place des mesures pour développer la forêt de façon durable. Le Québec et les régions en sortiront gagnants», a indiqué le ministre Corbeil. Tel qu'annoncé lors du discours sur le budget, au printemps 2006, le Programme d'investissements sylvicoles est doté d'un budget de 75 millions de dollars sur une période de quatre ans, dont 10 millions de dollars en 2006-2007, réparti comme suit : << - 5 millions de dollars pour des traitements sylvicoles avec récolte en forêt privée. Il s'agit ici de réaliser des éclaircies commerciales, surtout en peuplements résineux, et des travaux de jardinage dans les forêts feuillues. Ce montant s'ajoutera au budget actuel de 30 millions de dollars accordé aux Agences régionales de mise en valeur des forêts privées. - 2,5 millions de dollars pour la production de plants additionnels qui seront mis en terre en 2007-2008 en forêt publique. Ces plants seront produits tant dans les pépinières publiques que privées et seront destinés, notamment, à remettre en production des secteurs mal ou non régénérés dans diverses régions du Québec. - 2,5 millions de dollars pour la planification de travaux sylvicoles, qui seront réalisés en 2006-2007 et dans les années suivantes, la préparation de terrains en vue de leur reboisement en 2007-2008 et l'actualisation d'outils de planification en forêt publique. Ces activités pourront être réalisées en régie interne au ministère des Ressources naturelles et de la Faune ou par des organismes externes. >> La majeure partie du budget alloué à la forêt privée dans le cadre de ce nouveau programme a été répartie en fonction du potentiel que recèle chaque région pour la réalisation de travaux ciblés et des sommes déjà consenties aux Agences régionales de mise en valeur des forêts privées, par l'entremise d'autres programmes (voir annexe 1). Les budgets accordés en 2006-2007 (voir annexe 2) comprennent donc, en plus des 10 millions de dollars du Programme d'investissements sylvicoles annoncés aujourd'hui, les 34,1 millions de dollars du Programme de mise en valeur des ressources du milieu forestier, les 30 millions de dollars du Programme d'aide à la mise en valeur des forêts privées et les 16,8 millions de dollars du Programme de création d'emplois en forêt, pour un grand total de 90,9 millions de dollars. «Par ces investissements, le gouvernement du Québec contribue à la mise en marché de bois issus de la forêt privée et, également, au maintien d'emplois forestiers en région, en plus d'assurer la pérennité de notre inestimable patrimoine forestier», a conclu le ministre Corbeil. << Source : Mathieu St-Amant Attaché de presse Cabinet du ministre des Ressources naturelles et de la Faune (418) 643-7295 ANNEXE 1 -------- Répartition des 10 millions de dollars additionnels en forêt privée et en forêt publique Programme d'investissements sylvicoles en 2006-2007 ------------------------------------------------------------------------- Régions Forêt publique Forêt privée TOTAL ------------------------------------------------------------------------- 01 Bas-Saint-Laurent 250 000 $ 75 000 $ 325 000 $ 02 Saguenay-Lac-Saint-Jean 550 000 $ 215 361 $ 765 361 $ 03 Capitale-Nationale --- 382 137 $ 382 137 $ 04 Mauricie 250 000 $ 225 009 $ 475 009 $ 05 Estrie --- 947 595 $ 947 595 $ 07 Outaouais 150 000 $ 371 817 $ 521 817 $ 08 Abitibi-Témiscamingue 450 000 $(1) 268 273 $ 718 273 $ 09 Côte-Nord 150 000 $ 10 000 $ 160 000 $ 11 Gaspésie-îles-de-la-Madeleine 250 000 $ 75 000 $ 325 000 $ 12 Chaudière-Appalaches --- 929 343 $ 929 343 $ 14 Lanaudière 80 000 $ 120 127 $ 200 127 $ 15 Laurentides 70 000 $ 218 163 $ 288 163 $ 16 Montérégie --- 253 511 $ 253 511 $ 17 Centre-du-Québec --- 308 663 $ 308 663 $ Répartition à venir dans les régions --- 600 000 $ 600 000 $ ------------------------------------------------------------------------- Production de plans dans plusieurs régions du Québec 2 500 000 $ --- 2 500 000 $ ------------------------------------------------------------------------- Développement d'outils 300 000 $ --- 300 000 $ ------------------------------------------------------------------------- TOTAL 5 000 000 $ 5 000 000 $ 10 000 000 $ ------------------------------------------------------------------------- 1. En forêt publique, ce montant englobe les régions de l'Abitibi- Témiscamingue et du Nord-du-Québec. ANNEXE 2 -------- Programmes forestiers en 2006-2007 (en millions de dollars) Tableau de la répartition régionale ------------------------------------------------------------------------- Programme d'aide à la Prog- Prog- Régions Programme de mise mise en ramme ramme du en valeur des valeur de d'inves- Québec ressources des création tisse- du milieu forêts d'emplois ments forestier (1) privées en forêt sylvi- (2) (3) coles TOTAL ------------------------------------------------------------------------- Volet Volet Total I II ------------------------------------------------------------------------- 01 Bas- Saint-Laurent 0,250 3,490 3,740 7,408 5,650 0,325 17,123 ------------------------------------------------------------------------- 02 Saguenay- Lac-Saint-Jean 0,680 5,170 5,850 2,695 0,520 0,765 9,830 ------------------------------------------------------------------------- 03 Capitale- Nationale 0,130 1,050 1,180 1,498 0,210 0,382 3,270 ------------------------------------------------------------------------- 04 Mauricie 0,380 2,700 3,080 1,332 0,650 0,475 5,537 ------------------------------------------------------------------------- 05 Estrie 0,030 0,820 0,850 2,638 --- 0,948 4,436 ------------------------------------------------------------------------- 07 Outaouais 0,200 1,390 1,590 1,180 --- 0,522 3,292 ------------------------------------------------------------------------- 08 Abitibi- Témiscamingue 0,730 2,940 3,670 1,692 0,290 0,718 6,370 ------------------------------------------------------------------------- 09 Côte-Nord 0,290 1,950 2,240 0,322 --- 0,160 2,722 ------------------------------------------------------------------------- 10 Nord-du-Québec 0,250 2,500 2,750 --- 0,390 --- 3,140 ------------------------------------------------------------------------- 11 Gaspésie- Iles-de-la- Madeleine 0,460 3,670 4,130 2,057 6,740 0,325 13,252 ------------------------------------------------------------------------- 12 Chaudière- Appalaches 0,100 1,060 1,160 4,632 --- 0,929 6,721 ------------------------------------------------------------------------- 14 Lanaudière 0,120 0,910 1,030 0,496 --- 0,200 1,726 ------------------------------------------------------------------------- 15 Laurentides 0,180 1,170 1,350 0,997 --- 0,288 2,635 ------------------------------------------------------------------------- 16 Montérégie --- 0,850 0,850 0,997 --- 0,254 2,101 ------------------------------------------------------------------------- 17 Centre-du- Québec --- 0,630 0,630 1,996 --- 0,309 2,935 ------------------------------------------------------------------------- Ententes particulières(4) --- --- --- 0,060 2,350 --- 2,410 ------------------------------------------------------------------------- Production de plants et développement d'outils --- --- --- --- --- 2,800 2,800 ------------------------------------------------------------------------- Répartition à venir --- --- --- --- --- 0,600 0,600 ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- TOTAL 3,800 30,300 34,100 30,000 16,800 10,000 90,900 ------------------------------------------------------------------------- 1. Annoncé le 29 mai 2006 2. Annoncé le 18 mai 2006 3. Annoncé le 8 juin 2006 4. Ce budget est utilisé dans un volet autochtone. >>
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